"Pour peindre cette féerie, il invoqua des couleurs inconnues, il mélangeait le jus de canne à la terre, et le cœur de chauffe à la rouille des hautes cuves…
On le vit, l’œil rouge à surprendre des vibrations lumineuses et des épaisseurs d’ombres qu’il tentait d’accorder. Il essaya des rythmes brisés de noir, de gris et de vert ; il s’abîma dans des fulgurances géométriques inconnues de ce monde…"
(Patrick Chamoiseau, Elmire des sept bonheurs)