Le jardin
alimenté par la rivière Lézarde qui nourrit ses canaux, offre un paysage
changeant, mouvant sans cesse au gré de la lumière, de la pluie, des floraisons
et de l’entretien minutieux que lui accordent ses propriétaires.
De La Lézarde Édouard Glissant écrivait dans son roman éponyme : « Pourtant
elle descend de belle façon les contreforts du nord ; avec ses
impatientes, sa jeunesse bleutée, les tourbillons de son matin. Lorsque paraît
le premier soleil, la Lézarde surprise en son détour semble là
s’assoupir… »